Le Syndrome de Bonnard dévoile la part mouvante et ouverte des œuvres. Entre reprises, réactivations et recyclages, elles poursuivent leur propre trajectoire au-delà de leur entrée dans les collections.

Le Syndrome de Bonnard dévoile la part mouvante et ouverte des œuvres. Entre reprises, réactivations et recyclages, elles poursuivent leur propre trajectoire au-delà de leur entrée dans les collections.

Le Syndrome de Bonnard dévoile la part mouvante et ouverte des œuvres. Entre reprises, réactivations et recyclages, elles poursuivent leur propre trajectoire au-delà de leur entrée dans les collections.

L’artiste Sébastien Rémy invente une forme singulière de présentation du dispositif Flash Collection. Dans Splash collection les œuvres deviennent des protagonistes d’une histoire inspirée par les univers du manga et de la bande-dessinée.

Le Frac Île-de-France invite Mathilde Denize à investir l’espace du Plateau pour sa première exposition personnelle dans une institution francilienne.

Elouan Le Bars explore les logiques de simulation propres aux environnements numériques, le potentiel spéculatif et interactif du jeu vidéo, les mutations du monde du travail et ses corolaires managériaux.

Les œuvres des artistes de FoRTE#7, sculpture, livre d’artiste, installation immersive, vidéo, ou encore création sonore, dialoguent avec la collection du Frac Île-de-France et reflètent la manière dont les artistes se saisissent des enjeux contemporains – mémoire, écologie, numérique – pour créer des univers sensibles.

Ce parcours propose une rencontre avec les différentes formes de l’art contemporain autour du motif de l’eau et en écho à l’histoire médiévale et monastique du Domaine régional de Villarceaux.

Maty Biayenda engage une série d’expérimentions esthétiques avec différents médiums : peintures sur toile ou bois, dessins sur papier ou imprimés sur tissus, installations et vidéos.

Présentée simultanément aux Réserves du Frac Île-de-France et dans la Chaufferie de la Fondation Fiminco, l’exposition de l’édition inaugurale d’Art Émergence rassemble les projets de fin d’études de 42 artistes et designers diplômés en 2024 de l’ensemble des écoles d’art et de design publiques françaises, à raison d’un diplômé par école.

À Nemours, il ne reste de médiéval que l’architecture massive de cette forteresse qui a traversé le temps. C’est un rare témoin des châteaux de ville d’Île-de-France des XIIe-XVe siècles. Sans objets provenant de ce château médiéval, leur absence s’impose à nous face aux murs de pierres nus.

Les oeuvres au fin’amor contemporain de l’artiste Héloïse Farago viennent se nicher au coeur du parcours permanent du musée ARCHÉA en écho aux mille ans d’histoire médiévale du territoire de Roissy qui fut auparavant celui des Francs puis le théâtre de la Guerre de Cent Ans.

Cette exposition prend racine dans les récits médiévaux, marqués par le développement du culte des saints et la consolidation d’une tradition écrite. Elle propose des échos contemporains qui prolongent les aspirations spirituelles émergentes à cette époque.

Le Centre culturel Jean Cocteau et le Lycée Polyvalent Paul Robert des Lilas s’associent autour d’un commissariat d’exposition collectif porté par les élèves de deux classes de seconde et le commissaire d’exposition et médiateur Thomas Maestro.

Dans un diptyque entre Le Plateau et Les Réserves, l’exposition déploie différentes formes d’hybridation. Au Plateau, dans l’esprit de Berserk, et en faisant référence à l’interprétation dix-neuvièmiste de l’époque médiévale, plus mystique et romantique, les œuvres nous entraînent dans un cheminement obscur et sombre.

Le travail de sculptures et d’installation de Garance Früh entretient un lien fragile et ténu avec les questions de protection, de défense et de soin des corps avec l’utilisation de matériaux préexistants qui contraignent, protègent ou habillent le plus souvent les corps féminins.

Dans un diptyque entre Le Plateau et Les Réserves, l’exposition déploie différentes formes d’hybridation. Aux Réserves, l’exposition puise ses références dans le merveilleux, les créatures anthropomorphes, le bestiaire médiéval. Elle nous transporte dans le monde de Pyrrhia, soulignant la place importante de l’artisanat et du lien à la communauté.

Matthias Odin se nourrit des rencontres et des hasards qui placent son travail dans un mouvement d’errance et de constructions tant hasardeuses que choisies.

L’exposition de Carlota Sandoval Lizarralde dans la Project Room dans le cadre de Drawing Now et du Printemps du dessin met l’accent sur sa pratique du dessin qui se matérialise de manières diversifiées.

L’exposition est une exploration poétique de l’intimité entre la terre et le corps, librement inspirée des recherches sur les sociétés matrilinéaires à l’époque néolithique menées par l’archéologue lituanienne Marija Gimbutas.

Wei Libo est né en Chine dans les années 1990. Il débute ses études artistiques en France en 2017 à l’école supérieure des Beaux-arts de Nantes, Saint-Nazaire, puis poursuit en 2020 l’école nationale supérieure des Beaux-arts de Paris d’où il sort diplômé en 2024. Il est actuellement résident à la Villa Belleville.

L’installation de Thomas Buswell intègre une fontaine conçue avec plusieurs haut-parleurs recouverts de serpillères plongés dans un bac rempli d’eau prolongé par des excroissances qui se propagent au sol comme des champignons mutants.

Joséphine Berthou réalise des films de fiction imprégnés d’une importante part documentaire et de comédie musicale. Ses films s’incorporent à de vastes installations et envisagent les rôles que chacun acquiert dans une société globalisée où les informations circulent de manière toujours plus immédiate.

Joséphine Topolanski oriente sa pratique vers différents médiums. Ses œuvres prennent leur origine dans les témoignages, les enquêtes d’États sur les phénomènes spatiaux inexpliqués, les conférences internationales sur l’existence d’ovni, de vies extraterrestres ou de trous noirs.

La mise en récit, la scénographie et les symboles traversent le travail de Na Liu et se traduisent dans tous les médiums qu’elle explore. Mrs XX, personnage principal de ses films conçus comme des chapitres, est scrutée dans ses moindres gestes par un regard extérieur : l’œil gauche absorbe la fantaisie tandis que l’œil droit voit la vérité.

Les installations discrètes d’Andréa Sparta réunissent des objets que chacun peut reconnaître et dont la noblesse se soustrait habituellement à notre regard. Le choix des éléments s’établit de manière non hiérarchique, soigneuse et attentive dans une relation à la domesticité.

Nina Azoulay pratique l’installation, la sculpture, le dessin et une écriture fragmentaire qu’elle qualifie de « poésie empilée ». Elle utilise aussi bien des tissus de différentes factures et couleurs pris dans des blocs de plâtre, ou suspendus à des portants, des cordages, des embrasses de rideaux, ou des images qu’elle archive.

Romain Best’s installation and sculpture work is rooted in materials as diverse as rainwater, steel, grease, bronze, aluminum, copper, plastic, rubber, steel, lead and ceramics. Learning the techniques involved in apprehending the different states of matter is the starting point for research that leads to new experimentation.

Nourri de sa culture iranienne et française, son travail est principalement axé sur des arrangements mêlant écriture en différentes langues, matériaux usuels et pauvres, et images ou objets de la culture populaire associés dans des compositions qui peuvent être rejouées d’une toute autre manière dans différents contextes.