Bonnard Syndrome reveals the shifting and open nature of the works. Between reworkings, reactivations, and recycling, they continue on their own trajectory beyond their entry into collections.

Bonnard Syndrome reveals the shifting and open nature of the works. Between reworkings, reactivations, and recycling, they continue on their own trajectory beyond their entry into collections.

Bonnard Syndrome reveals the shifting and open nature of the works. Between reworkings, reactivations, and recycling, they continue on their own trajectory beyond their entry into collections.

In Splash collection, the works become the protagonists of a story inspired by the worlds of manga and comic strips. Among them is Le décalage by Marc-Antoine Matthieu.

Mathilde Denize stages her paintings, transforming them into authentic “theatrical tableaux.”Through her installations, she creates spaces for perception rather than narrative, encouraging us to explore shapes and sensations.

Elouan Le Bars explores the logic of simulation specific to digital environments, the speculative and interactive potential of video games, changes in the world of work, and their managerial implications.

The works of the artists featured in FoRTE#7—sculpture, artist’s books, immersive installations, video, and sound art—engage in dialogue with the Frac Île-de-France collection and reflect the way in which artists address contemporary issues—memory, ecology, digital technology—to create sensitive worlds.

Ce parcours propose une rencontre avec les différentes formes de l’art contemporain autour du motif de l’eau et en écho à l’histoire médiévale et monastique du Domaine régional de Villarceaux.

Maty Biayenda creates a kaleidoscope of aesthetic experiments in a variety of media: paintings on canvas or wood, drawings on paper or printed on fabric, installations and videos.

Présentée simultanément aux Réserves du Frac Île-de-France et dans la Chaufferie de la Fondation Fiminco, l’exposition de l’édition inaugurale d’Art Émergence rassemble les projets de fin d’études de 42 artistes et designers diplômés en 2024 de l’ensemble des écoles d’art et de design publiques françaises, à raison d’un diplômé par école.

À Nemours, il ne reste de médiéval que l’architecture massive de cette forteresse qui a traversé le temps. C’est un rare témoin des châteaux de ville d’Île-de-France des XIIe-XVe siècles. Sans objets provenant de ce château médiéval, leur absence s’impose à nous face aux murs de pierres nus.

Les oeuvres au fin’amor contemporain de l’artiste Héloïse Farago viennent se nicher au coeur du parcours permanent du musée ARCHÉA en écho aux mille ans d’histoire médiévale du territoire de Roissy qui fut auparavant celui des Francs puis le théâtre de la Guerre de Cent Ans.

Cette exposition prend racine dans les récits médiévaux, marqués par le développement du culte des saints et la consolidation d’une tradition écrite. Elle propose des échos contemporains qui prolongent les aspirations spirituelles émergentes à cette époque.

Le Centre culturel Jean Cocteau et le Lycée Polyvalent Paul Robert des Lilas s’associent autour d’un commissariat d’exposition collectif porté par les élèves de deux classes de seconde et le commissaire d’exposition et médiateur Thomas Maestro.

Dans un diptyque entre Le Plateau et Les Réserves, l’exposition déploie différentes formes d’hybridation. Au Plateau, dans l’esprit de Berserk, et en faisant référence à l’interprétation dix-neuvièmiste de l’époque médiévale, plus mystique et romantique, les œuvres nous entraînent dans un cheminement obscur et sombre.

Garance Früh’s sculpture and installation work maintains a fragile and tenuous link with questions of protecting, defending and caring for the body, using pre-existing materials that most often constrain, protect or clothe the female body.

Dans un diptyque entre Le Plateau et Les Réserves, l’exposition déploie différentes formes d’hybridation. Aux Réserves, l’exposition puise ses références dans le merveilleux, les créatures anthropomorphes, le bestiaire médiéval. Elle nous transporte dans le monde de Pyrrhia, soulignant la place importante de l’artisanat et du lien à la communauté.

Matthias Odin se nourrit des rencontres et des hasards qui placent son travail dans un mouvement d’errance et de constructions tant hasardeuses que choisies.

Carlota Sandoval Lizarralde’s exhibition in the Project Room as part of Drawing Now and Printemps du Dessin focuses on her drawing practice, which takes shape in a variety of ways.

L’exposition est une exploration poétique de l’intimité entre la terre et le corps, librement inspirée des recherches sur les sociétés matrilinéaires à l’époque néolithique menées par l’archéologue lituanienne Marija Gimbutas.

Wei Libo was born in China in the 1990’s. He began his artistic studies in France in 2017 at the École supérieure des Beaux-Arts in Nantes, Saint-Nazaire, then continued in 2020 the National School of Fine Arts in Paris from where he graduated in 2024. He is currently a resident of Villa Belleville.

L’installation de Thomas Buswell intègre une fontaine conçue avec plusieurs haut-parleurs recouverts de serpillères plongés dans un bac rempli d’eau prolongé par des excroissances qui se propagent au sol comme des champignons mutants.

Joséphine Berthou réalise des films de fiction imprégnés d’une importante part documentaire et de comédie musicale. Ses films s’incorporent à de vastes installations et envisagent les rôles que chacun acquiert dans une société globalisée où les informations circulent de manière toujours plus immédiate.

Joséphine Topolanski oriente sa pratique vers différents médiums. Ses œuvres prennent leur origine dans les témoignages, les enquêtes d’États sur les phénomènes spatiaux inexpliqués, les conférences internationales sur l’existence d’ovni, de vies extraterrestres ou de trous noirs.

Storytelling, scenography and symbols run through Na Liu’s work, and are reflected in all the media she explores (painting, drawings, videos, objects). Mrs XX, the main character in her films conceived as chapters, is scrutinized in her every move by an outside eye. The left eye absorbs the fantasy, while the right sees the truth.

Andréa Sparta’s discreet installations bring together objects that everyone can recognize, but whose nobility is usually hidden from view. The choice of elements is established in a non-hierarchical, careful and attentive way, in a relationship to domesticity.

She uses fabrics of various shapes and colors taken from plaster blocks, colored round-headed pins, portmanteaus, ropes, curtain tiebacks, reflective sequins and found images. This attraction to textiles has led to research into the skin, raising questions about permeability, vulnerability, limits, vertigo, inheritance and possible transformations.

Romain Best’s installation and sculpture work is rooted in materials as diverse as rainwater, steel, grease, bronze, aluminum, copper, plastic, rubber, steel, lead and ceramics. Learning the techniques involved in apprehending the different states of matter is the starting point for research that leads to new experimentation.

Inspired by her Iranian and French cultures, her work is mainly based on compositions that combine writing in different languages, common and poor materials, and images or objects from popular culture, all of which can be reproduced in completely original ways in a variety of contexts.